D'abord des nouvelles !

Alors presque cinq mois sont passés ! Déjà!!! c'est passé à une vitesse folle ! Alors que dire?
Que finalement, alors que j'aurais dû reprendre dans un mois.... Ben non ! je reste en congé parental ! De la folie selon mon père (mon mari est en recherche d'emploi... ) Mais on y a réfléchit quand même ! Reprendre le boulot un mois ou deux pour déménager dans la foulée... ça veut dire adapter les enfants à la nounou puis changer de lieu de vie puis réadapter... Dur dur, j'ai pas envie de leur imposer ça !
Et puis j'ai pas envie que la miss reste touts la journée dans un transat (et elle non plus d'ailleurs). J'ai peur que le grand s'y ennuis (moins de sortie, la télé, le coca, les bonbons, ne pas savoir ce qu'ils font...) En plus la miss, tète encore deux fois la nuit, s'endort au sein ou dans l'écharpe et a refusé de boire au bib... Bref, autant qu'on continue comme ça !
Mon homme depuis 15 jours a presque fait le tour de France des entretiens... Pourvu que ça débouche bientôt !
Moi j'accumule les soucis de santé, heureusement que mon médecin était là sur le dernier coup, sinon, je ne sais pas comment j'aurai fait pour l'allaitement : un bête virus (dont 4 jour à 39-40° quand même), puis une surinfection pulmonaire. je ne pouvais même plus dormir couchée sans m'étouffer ! Et mon médecin a réussi à trouver un traitement et à ce que je puisse continuer à nourrir ma poupinette. Je développerai quelques réflexions à ce sujet plus tard...


Sinon, j'ai une pensée toute particulière pour 4 personnes
-A ma sage-femme... Et toute sa famille. Ses deux anges; je pense très souvent à elles, à eux, j'ai beaucoup d'affection mais j'ai peur de l'exprimer maladroitement. (du coup je ne dis rien et c'est pas mieux! Typiquement familiale comme façon de faire...)
- A la marraine de ma fille. Je croise les doigts et j'y crois ! La MIV sera sa solution !
- A Lolo, une autre amie... Comme quoi la vie en ce moment n'a pas envie de permettre aux gens d'avoir des enfants facilement....
- A Pistil, une amie. Son cheminement m'a encore une fois fait beaucoup avancer ! La naissance de sa fille me laisse un souvenir doux-amer : amer, parce que je n'ai toujours pas compris tout ce qui s'y est passé; doux parce que tout c'est bien fini et qu'elle ne garderont pas de séquelles et notre amitié non plus.